Aventures sur Eana > Actions & Décisions

Chapitre IV - Plan astral

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Atorgael:
Lorsque l'abbé vint chercher les aventuriers, ils étaient prêts à partir.

Je vous laisse décrire les actions préalables et les équipements que vous prévoyez pour cette expédition autre-planaire

Le trajet fut rapide, en à peine plus d'une heure, ils arrivèrent en vue d'une tour de garde en ruine, donjon imposant laissé depuis des siècles à l'abandon perché en haut d'un sommet dominant les vallées alentour. L'abbé leur assura qu'aucune créature hostile ne foulait ce sol, lui-même venait méditer en ce lieu très souvent, propos confirmés par Vamna.
Cette dernière avait expliqué un moyen d'entrer en méditation qui favoriserait le passage rapide à un état de sommeil et de rêves.

Arrivés au pied de la tour de garde, l'abbé leur proposa de s'installer à même le sol dans la cour du rez-de-chaussée, ainsi ils seraient en contact direct avec Eana tout en étant proches des cieux, le lieu parfait pour cet rituel.

Une fois couché sur le sol glacé, il disposa des herbes des montagnes et les alluma, produisant une fumée odorante très agréable quiplongea les plus réceptif dans une sommeil apaisé.

Le voyage commençait.

Je vais vous demander de me décrire dans votre prochain post votre ile astrale, c'est un lieu  fabriqué par vos rêves, un lieu qui peut rappeler un lieu de votre enfance ou que vous avez connu ou un lieu idéal que vous souhaitez atteindre.
Ca peut être une forteresse, un village, un oasis, un temple, une maison cossue entourée de jardins verdoyants, une forêt sauvage...

J'aviserai par la suite ce qui se passera, notamment pour Arkxus.

Allywen:
Pour se préparer pour son voyage astral, Allwen avait prit tout son armement de combat et armure.
Arrivé sur le lieu où la méditation se ferait, Allywen s'allongea et se prépara pour son voyage astral.
Après les préparatifs, Allywen commença tout de suite à s'endormir.
Il se retrouva sur un bateau, qui naviguait sur une mer calme et limpide, avec un ciel bleu et une petite brise qui faisait avancer son bateau. Car là, il était capitaine de navire avec un équipage sous ses ordre et ils faisaient du commerce entre diverses petites iles et la grande ville pour alimenter les petites iles des bienfaits de la grande ville, et ils alimentaient la grande ville de tout ce que produisaient les artisans des iles
 

Kragor:
Bien que peu convaincu, Ba'zin suivit ses camarades afin d'aider Arkxus à se débarrasser de son démon et ainsi se consacrer pleinement à sa déesse qu'il avait décidé de suivre., ce dont il se félicitait.
Il s'allongea donc sur le sol glacé et constata que ses camarades tombaient dans le sommeil les uns après les autres.
Au bout d'u n temps qu'il ne pouvait mesurer, il se retrouva auprès d'une oasis qu'il avait connu dans sa jeunesse, là où lui et ses frères aimaient aller s'amuser. L'air y était chaud et le sable accueillant, ainsi que le petit étang dans lequel il aimait se baigner.

Ivitz:


Karden s'était lavé dans un torrent de la montagne pour se purifier puis il s'habilla en arme comme pour aller au combat. Il récupéra le marteau de givreuse et alla au lieu de rendez vous.

Ainsi installé sur la pierre froide, les images commencèrent à apparaitre. Karden était en haut d'une colline très verte, sur laquelle était posé un énorme frêne qui dominait tous les autres, de nombreux corbeaux habitaient ses branches. Il s'assied à son pied calmement, en paix. Il regarda au loin , d'immenses montagnes aux pics enneigés percaient le ciel. La neige commença à tomber aupied de l'arbre mais il n'avait pas froid, il crut voir une femme loin devant lui, armé d'une lance et d'un bouclier, sa présence le réconfortait. Il se sentait prêt.

Ivitz:
Arkxus arriva au pied de la tour et adressa un signe de tête reconnaissant à l'abbé, à Vamna et à ses amis. Il dit
Zardhuok tombera, et pour cela, cet effort est nécéssaire.

Il s'allongea comme indiqué sur la pierre dure et froide. Il sentit l'odeur des herbes et commença à plonger dans la transe.

Il eut l'impression de tomber pendant de longues heures puis finalement il se retrouva débout au milieu d'un champs d'orge en plein été. La brise était chaude et les odeurs des fleurs planaient dans l'air.
Il marcha quelques temps jusqu'à apercevoir une simple ferme au pied du champs. Elle était minuscule, pourtant il semblait y regner une grande agitation. Arkxus alla en sa direction et il entendit des cris, d'abord lointains puis de plus en plus forts. Ces cris il les connaissaient, tous les hommes les avaient entendus une fois mais ne s'en souvenait pas forcement, c'était les cris de la venue de la vie.
Il s'approcha de l'entrée de la ferme et un groupement de gens s'était amassé devant la porte mais il ne semblait pas le remarquer alors qu'il poussait la porte. Il entendit une violente complainte, surement une contraction beaucoup plus forte, annonciatrice de l'éminence de l'évènement.
La chaumière était simple mais propre et des escaliers biscornus menaient aux étages supérieurs. Il les emprunta jusqu'à se rapprocher de la chambre ou un groupe de femme s'agitait avec des linges humides pleins de sang et des bassines d'eau chaude. Encore une fois il s'approcha et il vit une femme allongée sur le lit, elle lui sembla si belle mais en grande souffrance et il remarqua l'abondance de sang poisseux qui maculait le plancher. Alors dans un derniers cris de tourment, un bébé sortit si minuscule et fragile. De petites cornes ornaient le haut de sa tête et une queue fourchue dépassait du bas de son dos.
La femme pleurait à présent, pleurait d'un chagrin que nul ne serait consoler. Alors qu'Arkxus se demanda de nouveau ou il était, il fit volte face pour sortir de la chambre, tombant nez à nez avec une créature immense à forme serpentine, deux énormes yeux fendues jaunes barraient sa face terrifiante.
Arkxus tomba en arrière en reculant à quatre patte terrifié par la présence de cette chose qu'il avait déjà vu il y a bien longtemps.

Akhlitol... murmura t'il dans un souffle à peine audible, la voie muée par la terreur.

alors il se retrouva sur une île de rocher noir, ou fumait un grand volcan en son centre. l'air était irrespirable et la chaleur insoutenable. Il tourna sur lui même cherchant de l'aide mais il ne vit au loin, que deux yeux jaunes et un rire sifflant, plus fort qu'un tremblement de terre, résonnant sur toute l'île.

Il le sentait en son cœur, la chasse avait commencé.



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